© What-Elsee

« William, un autre verre de cognac ? »

groupe : this is our destiny
age : 27 ans
métier/études : journaliste au NY Times
nationalité : anglaise
quartier de résidence : manhattan
statut financier : riche
statut : célibataire

love the way you lie.

THE STARS, THE MOON, THEY HAVE ALL BEEN BLOWN OUT.
YOU LEFT ME IN THE DARK.
NO DAWN, NO DAY, I'M ALWAYS IN THIS TWILIGHT

Des pleurs, de la pluie, une chevelure blonde, rouge à présent. William les genoux plantés dans le bitume à côté de son amie, sa future fiancée, la bague en or traine dans une poche de sa veste. Il comprend à présent que cette bague ne serait pas pour elle. A moins, oui, qu'il meurt aussi, c'est le seul moyen, pour rester à ses côtés. Mais déjà des sirènes retentissent aux quatre coins de la rue, des hommes en blanc prennent son amour et des pompiers, eux s'occupent de lui. Oh, comme il aurait envie de jeter cette couverture et se jeter sur ces hommes qui emportent le corps de sa femme. Ça ne devait être qu'un diner romantique, cela faisait deux ans qu'ils se connaissaient et la maladie, aussi incurable soit-elle ne devait pas lui enlever Rose avant une année au minimum. Ils étaient allé à Hyde Park puis avaient mangé un hamburger dans un fast-food. Rose n'aimait pas que William étale son argent, elle disait qu'un plat ici, était aussi bon que dans un restaurant cinq étoiles. William n'avait jamais été d'accord avec elle sur ce point là, mais il ne disait rien. Et puis, ils avaient traversé sur un passage piéton, vert pour eux, ils ne faisaient vraiment pas attention, ils riaient, amoureux. Un chauffard, avait foncé dans le tas et, comme la fatalité était belle, Rose avait été frappée de plein fouet, son joli corps avait volé cinq mètres sur le côté. William seulement sonné avait appelé les secours et s'était jeté à côté d'elle pleurant toutes les larmes de son corps. Elle était morte sous le choc, l'heure du décès fut prononcée. Will se sentit plus abandonné que jamais. Il était seul et Londres puait. La rage qu'il avait de l'avoir laissé partir sans rien n'avoir pu faire s'était retourné contre cette ville, ce pays. Un mois après son enterrement, il partit pour les USA, il avait trouvé un boulot plutôt bien payé au NY Times. Il pouvait enfin prendre son envol, il ne demanda rien à ses parents et semblait dire qu'il n'avait plus rien qui le retenait en Angleterre.

NEW YORK, CONCRETE JUNGLE WHERE DREAMS ARE MADE OF,
THERE'S NOTHING YOU CAN'T DO, THESES STREETS WILL MAKE YOU FEEL BRAND NEW,
LETS HERE IT FOR NY

William, venez dans mon bureau, j'ai un nouveau sujet pour vous. Le rédacteur en chef venait d'appeler William, docilement le jeune homme prit place dans son bureau et laissa parler son supérieur pour comprendre au mieux de quoi il était question.

TON PSEUDO

Spoiler:

i'll be there for you.

Le bureau, un endroit étrange, William éprouvait des sentiments contradictoires. Il venait pour Margaret, et en même temps, il savait qu'elle ne se déciderait pas à ne serait-ce que sortir et boire un verre avec lui tant que des collèges seraient là. Mais, il adorait la voir, alors il venait tout de même.