© sour yesterday

« Ce n'est pas que les hommes craignent dieu..ce qu'ils craignent c'est al terreur qu'il inspire. »

groupe : That's not gonna happen. Pourquoi et bien voudriez vous tuer votre famille ?
age : 21 ans
métier/études : Garde du corp
nationalité : Américain
quartier de résidence : Manhattan
statut financier : aisé
statut : célibataire

love the way you lie.

"Que dire de moi ? Je suis une personne simple. Je suis né j'ai vécu et je mourrais. Mais j'ai tout mon temps alors je vais vous raconter monsieur, l'histoire d'un homme comme un autre. L'histoire d'un homme désespéré par la vie." Voilà ce que me rapportât Dino Cavallone lors de notre premier entretiens, extrait du journal du psychologue Karen Martin.

"Je suis né à Manhattan et depuis j'y vis toujours , ma mère était une jeune femme pleine de vie et de joie, et elle nous aimait, pourquoi je dis nous au passé car mon frère jumeaux est mort. C'est fou mais on ne se ressemblé pas tant que cela. J'ai hérité des cheveux noirs de ma mère de sa peau assez pâle, lui avait hérité des cheveux blonds de mon père et de sa peau légèrement doré. Mais il est mort cela ne sert plus a rien de ressassé le passé." Second extrait du journal du psychologue Karen Martin.

Observation : Le patient semble souffrir d'un choc post traumatique. Il semble ne pas pouvoir reprendre le cour de sa vie.

Doc', croyez vous que les hommes craignent dieu ? Moi je ne crois pas, je vais vous dire ce que je crois. Je crois que les hommes ne craigne pas dieu, mais la terreur qu'il inspire. Après tout cela voudrait dire que quelqu'un ou quelque chose manipule tout depuis les coulisses. Un claquement de doigt et la vie se termine. Le libre arbitre ? Disparut, cela ne peut exister avec une entité supérieure qui règne au-dessus de nos têtes. C'est pour cela que je ne crois pas en dieu. Je veux croire que moi et moi seul suis responsable de mes actes et pas un grand hurluberlu qui me manipule depuis les coulisses."

Observation : Le patient après un an de traitement et de suivis psychologique semble avoir surmonté ce qui semblait en fin de compte être une dépression conjuguée à un choc post traumatique.

Ces éléments nous donnent seulement quelques indications de qui il est. Ces éléments sont simplement des pensées désordonner en apparence, mais elles dévoilent malgré les paroles du jeune hommes un esprit compliqué et tumultueux. Souvent en conflit avec lui même. Il est maintenant temps que soit faites la lumière sur qui il est. Dans un hôpital de Manhattan, madame Cavallone donne naissances à deux jeunes jumeaux. Dans le bloc opératoire ou toute la magie de la création est entrain de se dérouler une équipe de docteur s'affaire autour de la femme qui accouche et si dans cette équipe là un homme ne veut pas que cet accouchement échoue c'est bien Lancia Cavallone, le père des enfants a naitre et mari de la jeune femme allongée sur la table d'opération. Il est aussi accessoirement le chirurgien en charge de l'accouchement. Il a lui même insisté pour le faire. Après un accouchement un peu tumultueux. Les enfants et la mère sont conduits dans une chambre où ils vont dormir. La jeune femme exténué et les deux nourrisson. Le mari va quand a lui veiller sur ce qui est pour lui son plus précieux trésor sa famille. Lancia, était un docteur respecté et reconnu il était âgé de trente ans et ses cheveux grisonnaient déjà la couleur de ces derniers lui rajouté quelques années mais son visage irradiant encore la jeunesse rectifié le tire. Il avait aussi quelques kilos en trop qui montraient son sens de la fête. Il aimait vivre et en profité c'est d'ailleurs en profitant de la vie qu'il l'avait rencontré, en arrivent à New York depuis Rôme le jeune italien avait eu du mal à s'habituer à son nouvel environnement. Ses collègues de travail parvinrent à l'entrainer dans un bar de quartier où ils semblaient avoir leurs habitudes. Âgé alors de vingt-cinq ans, il avait rencontré pour la première fois Hélène la femme qui allée partager sa vie avec lui mais celà ce n'était pas pour tout de suite. Sans qu'il s'en rende compte ses souvenirs entraînèrent Lancia dans le terrain des rêves où il sombrât pour ne se réveiller qu'à l'aube. Ce qui le réveillât c'est l'alarme des moniteurs. Sa femme Hélène venait de faire un arrêt cardiaque. Elle mourut personne ne réussit à la réanimé. Les jumeaux bien que tel ne se ressemblaient pas tellement physiquement si on les regardait en vision monochrome ils étaient absolument semblables. Mais avec des couleurs ils étaient opposés, Dino avaient les cheveux noirs et les yeux marron de sa mère. Léonardo, son frère, avait les cheveux blonds et les verts comme son père. Ils avaient toujours fait la même taille, et le même poids. Mais les similitudes s'arrêtaient là. Dino était un sportif invétéré et d'une intelligence moyenne. Léonardo était un jeune homme très intelligent et modérément sportif. Quand ils sortirent de l'école Dino devint policier, puis il montât au rang d'inspecteur jusqu'à ce que lors d'une intervention ses méthodes trop musclé au gout de ses supérieurs lui vaillent un licenciement en bonne et due forme. Léonardo se servit de son intelligence pour monter une petite entreprise pour la maintenir à flots il se mit à faire affaire avec la pègre locale. Tandis qu'après son licenciement son frère Dino trouvât un boulot dans une agence de garde du corps. Léonardo devint un témoin et fut protégé par l'état il avait enfin choisi de livrer toutes ses informations à la justice. Comme preuve de bonne volonté il requit la présence de son frère comme garde du corps et c'est le jour où il dût allé témoigner que l'incident eu lieux. Dino venait de garer sa moto devant l'immeuble ou était son frère. Il rentrât dans l'immeuble qui semblait plutôt délabré de l'extérieur, mais dont la porte ne s'ouvrait qu'à l'aide d'un code connut seulement d'une petite centaine de personnes à New York. Il montât les quatre étages menant à l'appartement de son frère à pied. Il sonnât et attendit qu'on lui ouvre. Un homme tout en noir avec une oreillette vint lui ouvrir. Quelques minutes après il ressortait de l'immeuble en compagnie de son frère et de cinq hommes. Léonardo et deux hommes montèrent dans une voiture et les deux derniers hommes montèrent dans une autre. Puis quelqu'un sortit de la première voiture. Casque intégrale noir et blouson en cuir. Il s'agissait de Léonardo. Démarrant sa moto Dino commençât à rouler encadré par deux voitures. Puis au bout de quelques mètres un premier carrefour, aucun problème, puis au premier feu rouge. Il vit un homme habillé en miséreux sortir une arme et ouvrit le feu sur Dino et Lénonard pendant que d'autres se chargeaient des voitures. Dans l'empressement a s'enfuir Dino put s'en sortir, mais il fut le seul. Après un séjour à l'hôpital de trois mois il eut un traitement psychologique, c'est quand il fut au plus bas et qu'il reçut l'héritage de son frère qu'il remontât. Son héritage tenait en quelques mots une simple feuille blanche avec trois mots : "Bon courage. Léonardo.". Il redevint alors lui même il y a de cela un an bientôt qu'il est mort son frère. Dino a vu son père se remariait avec une femme plus jeune que lui ayant déjà un fils. Il sourit son père ne cesserait jamais d'être un exemple. Il allait toujours de l'avant. Lui aussi il ferait pareille. Il arrêtât de vivre dans son petit studio dans le bronx qu'il avait acheté des années avant. Et achetât un appartement à Manhattan. Tout fut pour le mieux jusqu'à ce jour fatidique. Ce jour la comme un autre il sortit de chez lui avec sa veste en cuir et son costume en dessous, son arme glissée dans son holster un bon vieux desert eagle capacité de chargeur quinze balle et coincé dans sa ceinture deux autres chargeur aujourd'hui il escortait le sénateur. Une journée assez mouvementé s'annonçait. Quand au moment d'enfourcher sa moto il tombât dans un court sommeille comme tout le monde, comme il l'apprendrait après dans le monde entier cela avait eu lieu.

i'll be there for you.

Il était tombé dans un sommeil étrange fortement étrange. En regardant la date sur le journal posé sur la table il vit, le Times du vingt avril deux mille onze.

*Vingt avril deux mille onze ?!*

Puis autre chose le gênait dans ce drôle de rêve une sorte de détail étrange il voyait le monde en rouge ou bien. Non ce n'était pas ça il entendit un bruit sourd et regardât vers le sol il y voit son desert deagle tâché par le sang. Il reconnut enfin l'appartement de son père un appartement de cent mètres carrés en plain coeur de Manhattan. Il l'avait reconnu à l'inimitable fauteuil de son père, ou ce dernier se préla...se vidait de ses entrailles et de son sang a grand flot.

*Non ! Non ! Impossible, je n'ai pas, je n'ai pas put faire ça. Non !!!!!*

Devant lui s'étendait une vision macabre son demi-frère avait la cervelle explosé et les entrailles à l'air. Sa belle mère un fusil à la main souriait comme une démone et comme au ralentit Dino tombât sur ses genoux puis sur s'étalât de tout son long sur le plancher. Il allait mourir et pourtant il souriait oui il souriait. Pourquoi ? Pourquoi donc souriait il ? Il mourut le soleil couchant dans les yeux. il mourut en contemplant la beauté de ce monde une ultime fois. Et la tout ne fut que le noir complet.

*Mort, tous mort j'ai tué mon père. Mon frère est mort sous mes yeux sans que je puisse y faire quoi que ce soit. Et je me vois en songe tuer ma belle mère, son fils et mon père. Je dois devenir fous impossible que je fasse cela. Qu'est ce qui m'y aurait poussé de toute manière ?"

Et là tout pris fin il comprit qu'il se réveillait.

Sleep

Spoiler:

Bienvenue =D
Moi je lis "Vaisselle" dans son pseudo -sbaaaf-

DINO - Bah vu comme ça... Je dirais même ça fait "O. O. Waissel", donc "Ox2 Waissel", donc lu littéralement "eau de vaisselle" Si on est pas trop doués *sors* On mettra ça sur le dos de la fatigue hein xD

OZA - Je me disais aussi xD Oulala, le grand Zephyr ? J'ai déjà une telle réputation ? XD

Prof d'humour moi ? Vous irez pas loin avec mes blagues pourries xD
Ah oui c'est juste Oza ♥ Je vous permet de m'appeler Dieu ;P

c'est bon, je VALIDE.
c'était surtout pour te dire de faire attention en RP

bon jeu parmis nous