« Le temps file, le temps n’attend personne. Le temps guérit toutes les blessures. Tous autant que nous sommes nous voulons plus de temps. Du temps pour se relever, du temps pour grandir, du temps pour lâcher prise. Du temps. »
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groupe : THAT'S NO GONNA HAPPEN. jamais de la vie je ne quitterais celui que j'aime pour être en couple avec l'homme le plus détestable que je connaisse! age : 25 ans. métier/études : Assistante du rédacteur en chef du New York Times. nationalité : Américaine quartier de résidence : manhattan. statut financier : aisé. statut : divorcée et en couple.
love the way you lie.
Les apparences sont souvent trompeuses et pourtant tout le monde vit d'apparences. Certains font comme si tout allait bien alors que leur vie est un enfer, d'autres font comme s'ils étaient heureux avec leur compagnon alors que leur seule envie et de le quitter et d'autre se voilent la face à eux même. Moi j'ai fait partie des trois catégories en même temps... J'ai toujours vécu dans un monde où tout n'était qu'apparence. Dans ce genre de milieu, le plus important n'est pas qui vous êtes, ce que vous faites, mais ce que penses les autres de vous. Vous aurez beau être la personne la plus égoïste, la plus détestable, la plus mauvaise de cette planète, si vous jouer avec les apparences, les gens pourront croire que vous êtes la personne la plus gentille qu'ils aient jamais rencontré. Comme quoi tout cela n'est qu'un cercle vicieux dans lequel sont beaucoup tombés et tomberont encore. Pour ma part, je suis tombée dedans toute petite -un peu comme Obélix et la potion magique- et j'ai eu du mal à en sortir. Etant née dans les quartiers huppées de Miami, mes parents sont eux même des experts en faux-semblants depuis des années. Entre les galas de charité, les discours de mon sénateur de père, les tournages de mon actrice de mère, franchement je ne pouvais pas ne pas leur ressemblait. Mais bon je ne vais pas non plus me plaindre, j'ai eu quand même une enfance tranquille, mes parents ayant pas mal d'argent je n'ai jamais manqué de rien et j'ai toujours été une enfant adorable -enfin presque- car à cette époque j'avais quand même un tempérament blagueur déjà assez devellopé et je ne compte même pas le nombre de fois où mes parents ont été convoqués à l'école pour les nombreuses blagues que je faisais à mes petits camarades et les institutrices! D'ailleurs mes parents n'aimaient pas vraiment surtout que ma grande soeur Diana avait toujours été une enfant modèle ne faisant jamais d'histoire et étant toujours d'une perfection tellement absolue que ça en devenait flippant. Et surtout, mes parents étaient totalement obnibulés par la perfection de ma soeur ce qui avait pour effet de me releguer à la place de petit canard de la famille. Mais je finirais par avoir ma revanche. Car malgré toute sa perfection, ma soeur est totalement incapable de garder un petit ami pendant plus de 2 mois alors j'allais la battre sur ce plan là. Je précise qu'entre ma soeur et moi, il n'y a jamais eu d'entente cordiale et il y a toujours eu une sorte de concurrence, qui d'ailleurs pendant longtemps tourné toujours en sa faveur. Et alors qu'à 22 ans elle n'avait encore jamais eu de relation durable, à 18 ans, je rencontré celui qui allait devenir mon mari. C'était le fils d'un nouveau collègue de mon père avec qui il avait sympathisé. Il s'appelait Jason. Dés qu'on s'est rencontré, on s'est plu. Et d'ailleurs, il m'a proposé un rendez vous dés notre première rencontre, rendez vous que j'ai refusé. Je n'aime pas vraiment accepté les rendez vous dés la première rencontre car je préfère me laisser un peu désirer. D'ailleurs, je ne lui ai dit oui qu'à sa quatrième proposition de rendez vous, histoire de voir s'il voulait vraiment. Ce rendez vous s'est merveilleusement bien passé, il m'a amené dans un grand restaurant, puis nous avons fait une ballade au bord de la plage. Jason était vraiment l'homme parfait tel que je l'imaginais, il était séduisant, gentleman, sportif, patient, mature, intelligent, bref je ne voyais que ses bons côtés. Et pourtant, je n'aurais peut être pas du le voir aussi parfait... 2 ans plus tard, Jason m'a demandé en mariage et bien sûr j'ai dit oui. Les deux premières années de notre mariage furent des années de bonheur et de belle vie. J'étais vraiment heureuse mais un jour tout a basculé. Jason s'était fait viré il y a un mois de son travail et il avait beaucoup de mal à s'y faire. Il sombrait peu à peu dans une dépression et commençait à boire. Un jour où je rentrais de l'université, Jason avait bu, sûrement trop, et alors que j'avais oublié de lui acheter le repas qu'il voulait alors il s'est énervé et il m'a frappé d'une baffe. Ce jour là, je me suis dit que ce n'était pas grand chose mais ce que je ne savais pas c'est que ce n'était qu'un début. Semaines après semaines, les baffes se transformaient en coup de poing, jamais sur le visage pour que personne n'en sache rien. Et pendant 8 mois, je me suis tue. Je lui trouvais toutes les excuses possibles et surtout je l'aimais. Pendant 8 mois, je me voilais la face en me disant que ça finirait mais même après qu'il ait retrouvé du travail, il continuait, comme si c'était devenu normal pour lui. Pendant ces 8 mois, je faisais bonne figure, je mentais aux autres mais je mentais surtout à moi-même. Mais lorsqu'un jour, il me bat tellement que je me retrouve à l'hopital avec deux côtes brisées et il me force à faire croire que je me suis faite agressée dans la rue. Je l'ai fait mais lorsque j'ai dit à mes parents que j'allais divorcer en leur disant la vraie raison, ils ont tout fait pour me convaincre de ne pas le faire car mon divorce pourrait nuire à leur image. Leur foutu image était plus importante que mon bonheur et ma sécurité. Alors j'ai pris ce qui est sûrement l'une des décisions les plus importantes de ma vie: j'ai tout quitté. J'ai quitté Jason et fait une demande de divorce, j'ai quitté ma famille en leur disant que plus jamais je ne voulais entendre parler d'eux. Et heureusement, mes grands parents m'ont soutenu. Cela faisait longtemps qu'ils étaient en froid avec mes parents et ma soeur, alors ils m'ont soutenu moralement et financièrement pour tout quitter. Et pour prendre un nouveau départ j'ai choisi la ville où tout est possible: New York.
MRS STINSON/CHUCKIE LA CRÊPE
Spoiler:
age : 18 ans et t'as connu le forum comment? : Je l'ai crée avec Nolan et Seren quelque chose à ajouter? :
Dernière édition par Maggie N. Spellman le Ven 5 Nov - 20:40, édité 15 fois
Maggie N. Spellman Admin
Messages : 192 crédit : Valingaï métier : Assistante du rédacteur en chef du New York Times humeur : Perdue
Sujet: Re: MARGARET ♣ Time after time Jeu 7 Oct - 19:40
i'll be there for you.
Installée devant mon ordinateur de travail, j'étais en train de rédiger des mails pour mon patron et répondait à ses coups de fils. Je me disais "vivement que j'ai une promotion" car bien que le travail soit bien payée, j'avais envie d'écrire autre chose que des mails, moi ce que je voulais c'était écrire des articles, mais je savais que je n'avais pas le choix et que ce métier d'assistante était ma meilleure chance pour y arriver car si au bout d'un an, il me considérait comme assez sérieuse et douée pour écrire, mon patron m'offrirait une place de journaliste au sein de la rédaction. Je passais vite fait un coup de fil à mon petit ami, Peter. "-Salut, c'est moi - Hey, comment tu vas ma belle? - Bien et toi? - Bien bien, que me vaut ce coup de fil? - Je voulais juste te dire que ce soir je rentrerais vers 19 heures. - Ok, moi je finis vers 20 heures. On se retrouve où? Chez toi ou chez moi? - Disons chez moi. - D'accord. Bon je te laisse, faut que je me remette au boulot... - Pareil pour moi. (je voyais William qui m'observais un peu plus loin alors je fis comme si je ne le voyais pas et prenait un air amoureux d'ado de 16 ans et me reprit à parler assez fort) Je t'aime Pete. - Moi aussi Mag', à ce soir. Et alors que je raccrochais, je lâchais mon téléphone et tombais dans un profond sommeil...
Face à Amélia, je me demandais ce qui n'allait pas. J'avais l'impression que depuis quelques temps, elle me cachait quelque chose bien qu'elle fasse comme si rien n'avait changé. Avait-elle un soucis? Etait-elle avec un nouveau copain dont elle ne voulait pas me parler pour le moment? Après tout cela ne me concernait pas mais j'étais curieuse et j'avais envie de savoir. La question me brulait les lèvres mais je me retenais, elle avait le droit d'avoir son jardin secret comme moi j'avais le mien. Le problème surtout c'est qu'on s'étaient déjà disputées plusieurs fois à cause de ma curiosité alors je n'avais pas envie de me facher avec elle pour des idioties. Alors je me tus et fit comme si de rien n'était alors que Amelia me racontait une anecdote de son travail. Je n'écoutais pas vraiment mais faisait comme si. Puis je regardais ma montre et interrompit ma meilleure amie. "Désolée Mia, mais je dois y aller..." Amélia arrêta son anecdote et me sourit "Ah oui, c'est vrai. C'est votre soirée en amoureux ce soir!" Je lui sourit, me lève pour déposer l'embrasser rapidement sur la joue pour ensuite me diriger vers la porte. "Et oui, et puis monsieur n'aime pas attendre. On se voit demain!" Je sortais vite de l'appartement d'Amélia car j'étais pressée de rentrer chez moi pour retrouver celui que j'aime. Heuresement ce n'était pas loin je n'avais qu'à traverser le couloir pour me retrouver chez moi. Alors j'ouvris la porte et appela mon charmant colocataire depuis peu. "Chéri, je suis rentrée!" William sortit alors de la cuisine et je me jettais dans ses bras pour l'embrasser fougueusement. A la fin du baiser, il me sourit et me dit: "Tu m'as manqué ma puce... je t'aime". Je lui fait un de mes plus beaux sourires et lui répond dans un souffle "Moi aussi..." avant de l'embrasser à nouveau.
Puis ce fut le réveil, alors que j'étais assise à mon bureau, je me demandais qu'elle était donc cette horrible cauchemar dans lequel je me retrouvais avec ce détestable William. Mais ce ne fut pas la seule chose qui m'interpella car en regardant autour de moi je remarquais que mes collègues étaient tous en train de se réveiller. Mais que s'est-il donc passer? Pourquoi tout le monde a piqué un petit somme exactement au même moment. Mais ce ne fut pas le seul choc car en regardant par la fenêtre je voyais un véritable chaos à l'extérieur. Les voitures s'étaient rentrées dedans, des hélicos s'étaient écrasés, il y avait des personnes blessées partout. Tout cela était à la fois effrayant et étonnant. Et je n'étais pas la seule à assister impuissante à ce spectacle terrifiant car la quasi totalité de mes collègues étaient eux aussi devant la fenêtre. Mais que s'était-il passer? A cet instant, je n'en savais encore rien mais il était certain que je finirais par le savoir...
MARGARET ♣ Time after time
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