groupe : it was just a dream. elle a vu un avenir inexplicable, une chose qu'elle n'aurait même pas imaginé dans ses hypothèses les plus fantaisistes, de plus ses origines amérindienne la forcent à croire que ce n'est pas ce genre de phénomène qui permet d'apercevoir le futur, c'est beaucoup trop scientifique pour elle. age : 22 ans. métier/études : a repris l'entreprise de son défunt mari selon les désirs qu'il exprimait dans son testament. nationalité : américaine. quartier de résidence : manhattan. statut financier : riche. statut : veuve.
love the way you lie.
J’aurais voulu être une fille de neige, disparaître pour mieux revenir à chaque hiver, pour illuminer la nuit des âmes, j’aurais tant souhaité être particulière, être une étincelle là ou je me suis contentée d’être une lumière. Vous ne voyez que ce que l’on vous donne à voir, alors j’aurais désiré que vous puissiez traverser ma chair et sentir ce qui courait en moi, ce besoin d’aller au-delà de l’image. Je ne suis pas une chérubine, aux petites ailes fragiles. Je suis de chair et de regrets, comme tout le monde, seulement je le cache mieux, sous des rires cristallins, je suis protégée par un bouclier d’amour puissant. Un amour qui danse la valse, m’envole et m’écrase dans le même mouvement, un amour qui avait si mal commencé, je crois. Ou peut-être qu’au contraire, il n’y avait pas de meilleur début pour cette romance unique qui m’a réanimé, détruite puis reconstruite. Je suis la somme des erreurs, des mauvaises décisions, mais contre toute attente, ces énergies noires m’ont transformé en soleil. Un soleil bénévole, qui brille sur ceux que l’astre ordinaire a délaissé.
- Ozalee, ma chère Ozalee, tu ne prends rien à boire ? - Non merci Bly, ça va aller. - Oh, des fois tu es vraiment rabat-joie, blondinette. Bly était toujours gentil, un peu mystérieux, son regard était si perçant qu’il me touchait par-delà sa frange épaisse. Nous faisions partie du même club, des descendants éloignés d’indiens. Certes, indiens, cela n’était pas un titre de gloire à l’époque, juste un prétexte pour avoir des amis. Je n’étais pas populaire dans mon quartier. Les gamins du coin me dévisageaient quand je traversais la rue, j’étais assez naïve pour croire que c’était par curiosité, quand leurs commentaires ne concernaient que mon décolleté. Je leur souriais, passais mon chemin, rentrais chez moi, travaillais, sans me soucier réellement d’une hypothétique vie sociale. On ne me considérait que rarement comme une potentielle amie, plus une conquête. C’est cette habitude d’être détaillé par l’homme tel une pièce de boucher dans un abattoir qui m’avait motivé à ne pas me jeter trop tôt dans la sexualité. J’étais tranquille, entourée de mon cercle d’intimes, à n’entretenir de réelle conversation que le jeudi et le samedi soir. Le reste du temps, je chantonnais pour moi-même. Introvertie, ça me qualifiais parfaitement. - Hey, Oza, c’est à ton tour de nous raconter un secret ! - Pardon ?! - Par le grand chef de la tribu, ne me dis pas que tu étais suffisamment dans tes nuages pour avoir occulté le fait… que c’était une soirée action ou vérité ? - Désolé de te décevoir, Bly. Donc, que veux-tu savoir, chevelure-de-brousse ? - Et bien, ma belle, à qui as-tu offert ta fleur ? Je me mordais la langue, le rose me montait aux joues. Je pouvais lui dire, mais les autres ? Rapide coup d’œil, je m’interrogeais sur chaque personne présente. Chumani, Yahto, Aquene, Meoquanee… leur visage était illuminé par un air qui signifiait explicitement « je ne te trahirais pas ». Les autres feignaient le désintérêt total, et puis… il avait Waban, qui enchainait verre sur verre pour atténuer le silence. On entendait tous le liquide s’engouffrer dans ses entrailles. Ca résonnait, écho d’un alcoolisme à venir. J’ai compris, Wab, je vais répondre. - A personne, Bly. Absolument personne. - Oh, je ne …. - Laisse tomber. Mon tour ! Tes cheveux, c’est des vrais ? Je donnais le change, sauf que maintenant l’ambiance était retombée. Plus une seule allusion aux coups d’un soir des uns, ni d’allusions grivoises, on se comportait comme des gamins à la kermesse. Ils allaient m’en vouloir, d’avoir gâché le jeu, heureusement, on se connaissait assez longtemps pour se pardonner. Nous mangeâmes nos plats, apportés par des serveurs zélés. Le temps s’écoula lentement, puis ce fut l’heure de rentrer à la maison. - Ozalee, je te raccompagne ? - Hein… Waban, t’habites pas à l’autre bout de la ville ? - Hey, je suis un grand garçon. Par contre toi je te vois mal trainer ton frêle corps d’oiseau jusqu’à ton pavillon alors que des criminels t’attendent au coin de la rue. - Si tu veux… La voix de Waban était toute en modulation, grave, un timbre chaud. Lui, c’était vraiment un indien né à la mauvaise époque, contrairement à moi. Ma famille s’est tellement bien mélangée aux immigrants américains… que je dois être la plus blonde des Ozalee qui ont peuplé notre planète. Il me prend solidement par les épaules, nous marchons en silence, mes pieds effleurent le sol, le caresse presque. Sensation agréable que celle d’être en parfaite sécurité, accompagné par un protecteur et pas un prédateur. - Dis, Waban, t’es sur que tu prends le bon chemin ? - Oui. Le timbre chaud s’est muté en lame d’acier vocale. C’est le mauvais chemin, je veux retourner en arrière, il me plaque contre le mur, bloque mes poignets, j’essaye de crier, il me gifle. Sans relâcher la pression, il s’empare du foulard autour de mon coup, et serre, serre jusqu’à ce que mes pensées ralentissent leur trafic… Il desserre, tire le foulard et cette fois-ci c’est dans mes dents qu’il vient trouver refuge. Je suis donc muette, les seuls mots que Waban se refuse à entendre sont ceux que crient mes yeux, mes pupilles qui se dilatent, mes iris qui se veulent des lames. Il fait le sourd, soulève ma robe. J’essaye de mourir, d’annihiler la sensation. La sensation d’être cambriolée dans ce que j’ai de plus intime.
Je toussote. Malade, depuis ce matin, mon énergie est drainée hors de mon corps. Il a annulé ses rendez-vous de ce matin pour me tenir compagnie. Il tient ma main d’enfant dans sa grande paume rugueuse, caresse mon nez trop long du bout de ses doigts. Je me blottis contre son torse, puis recule, de peur de le contaminer. Ce serait vraiment dommage que son sacrifice lui rapporte… ça. Je suis fermement accrochée à mon oreiller, pourtant le monde tangue autour de moi, je suis portée par un ressac imaginaire, je retourne me caler dans ses bras. Il replace une de mes mèches de cheveux, commence à me chuchoter une parole de réconfort. La notion de maison m’est étrangère. Je ne suis à ma place qu’ici, cœur contre cœur avec lui.
Il doit être quatre heures de l’après-midi quand je me réveille. Je m’appuie difficilement contre la rambarde de l’escalier, j’ai squatté cet immeuble pour la nuit, et des locataires ont balancés leurs ordures, sur moi. Le décor est sinistre ; détritus de plastiques superposés à carcasse déchet d’une fille qui n’a plus rien d’un être humain. Mes vêtements sont marron crasse, je sens la rue, je sens le rat des villes, je sens le pauvre… Les larmes viennent inonder ma fine couverture. Cela va faire deux ans que j’erre, que je suis un fantôme, comme mes ancêtres, je peuple la terre en silence. Je suis là mais j’ai les pieds dans la tombe, parce qu’au fur et à mesure que les passants se font moins cléments, moins généreux, je m’écarte du réel. J’ai envie de rêver à nouveau, au lieu de rester collée au trottoir. Prestement, je rassemble mes affaires salies, rejoins l’artère principale de ce quartier New Yorkais. Une pancarte faite sur un vieux carton de pizza annonce clairement que j’ai besoin d’argent. Alors calmement j’attends, j’entends les piécettes tomber, centimes par centimes. Des fois un billet. J’ai le regard terne, assez terne pour ne pas réagir immédiatement quand je vois cinq cents dollar tomber. - Pardon… mais c’est trop. - Arrêtez de vous moquer de moi. Je gagne mille fois plus par moi. Ce n’est que trop… peu… Timbre chaud, indien, je fixe toujours mes pieds, je ne veux pas le connaître, ce type qui peut claquer cinq cent en une minute face à une blondinette à la rue qu’il prend pour une trainée. - Merci. - De rien. Considère ça comme une forme d’excuse. - Je m’appelle Ozalee. - Je suis au courant. Je m’appelle Waban… je t’ai longtemps recherché. Ainsi, c’est ça la honte ? La sensation diffuse qu’éprouve le perdant lorsque le gagnant vient savourer la défaite de son adversaire ? Je suis en position fœtale, mon âme est un glaçon dans un écrin de boue, je ne veux pas exister, pour ne pas vivre cet instant là. - J’ai parlé à tes parents. Je sais qu’ils t’ont traité comme la dernière des trainées, et je t’admire de ne pas avoir gâché ma vie à moi aussi en expliquant la vérité. - Moi, j’ai un honneur. Même si je suis la seule à ne pas en douter. - Tu as raison, en plus. Voilà quel était le problème, de toutes, tu étais celle qui avait raison, d’être calme, digne, belle. Tu me narguais dans ta vertu, dans ton vice. - C’est tout ? - Non. Non… car j’ai changé. J’ai une société, j’ai réussi. - J’ai réussi. Je suis en vie, je te signale. Je vaux mieux que toi. - Je vaux plus que toi… oh. On ne va pas se disputer. - Tu mériterais que je te défigure, tu vois : l’existence est mal faite. Tu as les poings, et moi je garde la hargne. Et tes insignifiants dollars. - Ecoute moi, Oza, je ne viens pas pour t’enfoncer. Je ne suis pas la pour une guerre inutile, je viens t’offrir quelque chose. Qui vaut tout les billets du monde, toutes les excuses. J’ai acheté un appartement sur la cinquième avenue. J’aimerais que tu viennes habiter avec moi. - Plutôt mourir. - Tu vas mourir Oza. Mais je te ne laisserais pas faire. La culpabilité l’a bouffé, je le devine à son insistance. Soudain se produit un miracle, il s’accroupit, et passe ses bras sous mon corps. Je me débats, aussi bien que le peu une fille qui crève de faim en permanence, il est plus déterminé que moi. La position si agréable me donne envie de dormir, il passe sa main sur mes paupières et je suis loin. Loin, c’est une autre planète, c’est une planète limousine qui file… vite. Plus vite que mon cœur ne pulsera jamais.
Coton blanc, draps immaculés, senteur de muguet, sur mon nuage, je ne vais pas me réveiller. Je rêve de mon mariage avec Waban, celui-là même qui à eu lieu il y a deux ans. J’ai des frissons de plaisir en me souvenant de cette magie qui s’était emparé de nos êtres alors que nous signions le contrat qui scellerait notre union. Il s’était fait pardonné, plus une once de rancœur ne subsistait en moi, j’étais pure et à nouveau vierge de toute haine. Je voguais comme une plume au rythme de sa respiration, un anneau d’argent surmonté d’une pierre modeste était désormais là pour le rappeler. Après avoir été rejetée par mes propres géniteurs, ma vie avait un nouveau sens. Waban. J’en étais follement amoureuse, qui l’eu cru ? J’étais capable de pardon. Il était d’un altruisme démesuré. Il m’avait offert une suite de princesse, un job sans soucis, un avenir beau tel le chemin pavé de brique d’or du magicien d’Oz, d’Ozalee.
i'll be there for you.
Agréable soirée mondaine, Waban m’a tiré de mon antre pour me proposer une petite exhibition du soir. Nous nous installons près de notre hôte, nous discutons. Nos yeux brillent de milles éclats, j’aime être là avec lui, j’aime cette vie simple sous couvert de superficialité. J’aime cet instant, jusqu’à ce que m’évanouisse brusquement, et entre dans une vision étrange de moi. D’un moi fantasmagorique… qu’est-ce qui se passe ?
J’étais donc assise sur cette chaise dure, dans ce local chaud, uniformément gris, la seule couleur étant apportée par des tuyaux de verre irisé. Moi aussi, je le percevais, j’avais eu chaud avant d’arriver ici, mon cœur pulsait effrénément, et j’étais tout aussi grise que mon environnement, partagé entre la croyance d’œuvrer pour un mal salutaire, et celle de m’impliquer dans un projet convenu de longue date, avec une visée altruiste sous couvert d’acte criminel. Mes sens étaient en émoi, en ébullition. Le parfum parvenant à mes narines était capiteux comme le velours d’une robe princière, la vision que j’avais du décor était en marbre, froide malgré la température ambiante, j’avais le vertige. Une question vint presque spontanément : avais-je bu ? Une saveur acre et amer s’était installée dans ma bouche, une sorte de rappel que je n’étais ici que pour une durée déterminée. Néanmoins, ce n’était pas ça qui m’angoissait, je le savais. L’objet qui focalisait mon attention se trouvait sous mes yeux. C’était un ordinateur portable blanc cassé, qui semblait neuf, comme une machine à peur qui m’avait été donnée pour cette occasion si particulière. J’étais d’ailleurs habillé d’une manière peu usuelle. Mon corps était engoncé dans un fourreau vert pâle, qui me seyait certes à ravir, mais dont j’ignorais l’origine. Je m’observais de loin, dans cette situation inédite. Une fourrure claire était posée sur mes épaules, j’étais au summum du chic et de l’élégance, je ne me reconnaissais pas. Qui était cette demoiselle à la coiffure impeccable, en train de taper si vivement de mots que mon moi ordinaire ignorait en temps normaux ? J’avais changé, mais dans une direction improbable, inimaginable. Un autre problème me torturait, je le sentais, il manquait un élément pour légitimer cet événement étrange. Il manquait Waban, Waban, m’aurait il abandonné, ou était-ce moi, qui était partie sans lui pour ce local ardent ? Sur l’écran défilaient des dizaines et des dizaines de lignes codées, de plus en plus compliquées, je le comprenais intuitivement, ma respiration se faisait saccadée, douloureuse. Soudain, je sursautais. Une fenêtre venait de s’ouvrir, indiquant très clairement « transfert réussi ». Un soupir que j’interprétais d’abord comme de satisfaction, puis comme un signe d’échec, au vu de ma mine décomposée. Je ne cessais de m’étonner, car une seconde ou deux d’abattement plus tard, mes doigts s'élançaient à nouveau à la conquête d'un univers virtuelle, d'une infinité numérique. Chaque choix justifiait le suivant, c’était un chemin logique vers la victoire, j’avais la gagne, dans cette pièce inconnue qui me galvanisait, je jouais une partie importante de ma vie… Après trente secondes intenses à entrer des informations dans l’ordinateur, je me levais, m’écartais le plus loin possible, jusqu’à heurter les conduits près du mur. Une minuterie informatique défilait, les secondes se bousculaient jusqu’au zéro. Et intimement, dans ma cage thoracique, dans mes neurones, mes muscles, ma chair, mes blessures, mes iris, mes cloisons nasales, mes ongles, mes cheveux, mes vaisseaux sanguins, mes organes vitaux, dans mon être physique, se répandait une onde de joie. J’avais réussi ce truc, cette mission inconnue, j’étais l’héroïne de ma vie. Plus qu’une poignée de seconde à patienter. Sauf que… - Ozalee. Ne fais plus un geste. - Je … est-ce que c’est comme ça que ça doit se dérouler ?
Réveil brutal, le rêve est terminé, reviens le règne de la réalité. J’ai les cheveux englués dans mon bras, mon suprême de volaille. Les convives autour de moi ont des airs ahuris, ce sont des spectres incarnés dans des corps chétifs. Moi, moi, moi je fixe la scène en face de moi, je regarde avec une obscène fascination le cœur de l’homme qui m’a sauvé de tant de dangers, transpercée par le remord, qui éjecte son sang giclée après giclée. Le couteau a fondu dans sa chair, alors qu'il dormait. Sa paupière se soulève, effort final, et ses yeux azurs me déchirent une dernière fois, avant de fermer définitivement. Sa dernière pensée, sa dernière idée, elle est pour moi. Une dernière preuve d’une incommensurable générosité.
AMERICAN-INDIAN
Spoiler:
age : jeune :p et t'as connu le forum comment? : par vos partenaires. quelque chose à ajouter? : TOURTE TARTE TARTE TOURTE !
Dernière édition par Ozalee O. Waissel le Mar 26 Oct - 21:46, édité 14 fois
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Sujet: Re: ozalee ○ i wanna go back to a place more simpler than this Lun 25 Oct - 18:39
merci ♥ le prénom est amérindiens. les prénoms amérindiens gèrent, pensez-y. ( dianna agron m'inspire énormément :p ) et pour la présa, je trouve ça plutôt agréable, j'ai fini le flash, reste " que " l'histoire.
Maggie N. Spellman Admin
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Sujet: Re: ozalee ○ i wanna go back to a place more simpler than this Lun 25 Oct - 18:49
j'avoue que je n'ai jamais pensé à jeter un oeil parmis des prénoms amérindiens, moi qui n'ais jamais d'inspiration pour ca xD
ensuite, jai adoré lire ton flash, cette note de mystère, ta facon d'écrire... j'adore! et puis, le retour à la réalité et cette pointe de tristesse à la fin...
ca donne envie d'avoir le reste de l'histoire
Ozalee O. Waissel IF YOU'RE LOOKING FOR ME, I'M IN VIP.
Sujet: Re: ozalee ○ i wanna go back to a place more simpler than this Lun 25 Oct - 18:51
Merci, j'y ai passé du temps ♥ ( et j'ai bien corné les pages de mon dico de figures de style et de synonymes pour réussir au mieux mon flash ) L'histoire viendra dans la matinée de demain, Ozalee n'a pas finis de surprendre :p
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Sujet: Re: ozalee ○ i wanna go back to a place more simpler than this Lun 25 Oct - 19:03
vous êtes adorables, je pense pas écrire tellement bien, je fais des efforts. et mon dico va se porter vraiment trèèès trèès trèès mal après ce soir. j'ai aussi hâte que vous la lisiez, en fait * mon égo est comme le croquemitaine, il a faim *
Ozalee O. Waissel IF YOU'RE LOOKING FOR ME, I'M IN VIP.
Sujet: Re: ozalee ○ i wanna go back to a place more simpler than this Mar 26 Oct - 21:45
double-poste pour dire que j'ai fini ♥ c'est pas terrible, j'ai baclé parce que je meure d'envie de commencer à rp, mais si il faut explicitez deux-trois truc, pas de problème !
G. Nolan Bratford ADMIN ♣ I like the way it hurts
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Sujet: Re: ozalee ○ i wanna go back to a place more simpler than this Mer 27 Oct - 1:56
Citation :
un avenir beau tel le chemin pavé de brique d’or du magicien d’Oz, d’Ozalee
j'adore cette phrase! c'est bien trouvé
ta présa' m'a toute émue. j'aime ta facon de raconter le drame qu'elle a vécu sans réellement en parler directement, tout dans le suggestif... et j'aime ce petit coté pretty woman! bref, j'aime ton perso'. t'as interèt à me reserver un lien ^^
tu es VALIDEE
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Sujet: Re: ozalee ○ i wanna go back to a place more simpler than this
ozalee ○ i wanna go back to a place more simpler than this
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