© Hysteriatic

« On dit souvent que le temps guérit toutes les blessures. Je ne suis pas d'accord. Les blessures demeures intacts. Avec le temps notre esprit afin de mieux se protéger, recouvre ses blessures de bandages, et la douleur diminue... mais elle ne disparaît jamais. Rose Kennedy. »

groupe : IT WAS JUST DARKNESS, le métier qu'exerce Lilly-Rose, est un métier pour lequel elle risque sa vie pratiquement tous les jours, apparemment on peut frôler la mort pendant neuf ans, puis la dixième année s'avère être celle de trop. Comme on le dit si bien, à force de jouer avec le feu, on si brûle. Même si son feu à elle c'est plutôt celui de son 9 mm, ou des gens qu'ils veulent sa peau.
age : 32 ans
métier/études : Elle travail comme Agent spécial du FBI dans l'unité contre le crime organisé.
nationalité : Américaine
quartier de résidence : brooklyn
statut financier : aisé
statut : en couple et c'est compliqué

love the way you lie.

"Le philosophe Khalil Gibran a écrit; les souffrances ont donnés vis aux plus grandes âmes. Les personnages les plus éminents, portent en eux des cicatrices"

Il était une fois... et ils vécurent heureux pour toujours, s'il y a bien une chose à laquelle je ne crois pas, ce sont bien les conte de fées. Pourtant, ma vie avait bien commencée. Certes comme tous les bébés la première chose que j'ai faite c'est pleuré, mais je pleurais de bonheur, j'étais venue au monde dans la meilleure famille qui puisse exister, enfin dans la meilleure famille d'avocat corrompu par la mafia qui puisse exister. Je venais de naître je vous le rappelle et je ne savais pas encore ce que corrompu voulait dire. Dans ma famille, l'avocat corrompu c'était mon père, ma mère elle n'était que la femme de la marionnette préférée de l'homme que plus tard j'allais surnommé oncle Luciano. Mais parlons un peu d'avant que je commence à former des syllabes. Mes parents se sont connus à la FAC, elle allait devenir quelqu'un d'important dans la politique à la fin de ses études, c'était son destin, lui devait devenir un avocat célèbre combattant le crime, ils étaient fais pour vivre leurs plus bel années ensemble, se consacraient à eux et a leurs carrières, mais ils n'avaient pas prévu mon arrivée. Je suis arrivé dans leurs vies deux ans après que ma mère est quittée la FAC et trois ans après que mon père est quitté lui aussi la FAC. Mon père commençait à peine à se faire une réputation, malheureusement pour lui, ce n'était pas celle qu'il avait rêvé étant plus jeune. Sa soeur c'était amouraché d'un petit dealer de drogue minable, sauf que ce minable n'était rien d'autre que le fils d'un gros bonnet de la mafia : Luciano. Mon père à vite servi d'avocat du diable, bon dans son domaine il a laissé plus de salaud en liberté qu'il y en a en prison. Le blanchissement d'argent, la drogue, la prostitution, mon père couvrait tout cela. Pendant que ma mère, elle, fermait les yeux et, fessait comme si c'était normalement que d'une petite maison à Brooklyn, ils passèrent d'un immense loft à Manatthan en même pas un an, certes le métier d'avocat paye bien, mais quand même. Ma mère elle, avait décidé de se consacrer exclusivement à moi, en même temps elle n'avait pas vraiment le choix, même si elle avait les moyens de m'offrir les services des meilleures nurses qu'il soit, elle savait que sa carrière de politicienne, n'allait pas être compatible avec ce que fessait mon père. Oui la politique et la mafia ne font rarement pas bon ménage, à moins d'être un de ces politiciens ayant un pied depuis la naissance dans une famille de mafia, mais ceci est une autre histoire.

J'ai grandi et en grandissant, mal grès mon jeune âge - je n'avais que deux ans - je voyais la tristesse qui se lissait dans les grands yeux noir de ma mère, elle fessait tout pour faire bonne figure, mais je ressentais le dégoût qu'elle avait envers Oncle Luciano. Moi à cette époque oncle Luciano, c'était un peu comme le père noël, sauf que noël avait lieu tous les jours, je savais, enfin je sentais que ma mère ne l'aimait pas, mais il m'achetait, il m'achetait en m'offrant tous les jours quelque chose de nouveau, je n'avais pas encore le caractère que l'on me connait aujourd'hui... C'est l'année de mes quatre ans, après le suicide de ma mère, que j'ai changé du tout au tout...

"La vie des morts consiste à survivre dans l'esprit des vivants. Cicéron"

Je ne me souviens pas vraiment de ma mère. Je me rappelle de l'amour qu'elle me portait, de ses grands yeux noirs. Parfois en fermant les yeux je pense entendre son rire, bien que d'après ce que j'ai compris elle avait perdu le goût de rire du jour au lendemain. Après sa mort, je n'ai pas de suite compris que je ne la reverrait plus jamais, je n'en ai pas de suite voulue à mon père et oncle Luciano était toujours là pour nous. Je n'étais jamais seule, oncle Luciano fessait tout pour que je me sente bien, même si, de temps en temps les personnes avec qui j'étais n'étaient pas fréquentables. Avant sa mort, j'étais quelqu'un de plutôt souriante et sociable, enfin comme tous les enfants de mon âge il était rare de me voir seule, sans jamais rire, alors que là, il m'arrivait d'être entouré de monde et de ne pas être aussi bien qu'avant. J'ai commencé à me refermer sur moi-même, j'étais devenue réservé, pas timide, mais je me sentais moins bien entouré de gens qu'avant, sans doute parce que ma mère n'était plus là pour me protéger du monde qui m'entourait et quel monde ! Ma mère était morte et moi j'étais élevé par des filles de passage, certaines rendaient visite à mon père la nuit, il me disait qu'elles ne remplaçaient pas maman, mais qu'il se sentait tellement seul qu'il avait besoin de compagnie, je ne comprenais pas bien sûr et je ne comprends d'ailleurs toujours pas aujourd'hui, mais personne ne pouvait remplacer ma mère, ni même m'enlever le manque qui se formait chaque jour un petit peu plus dans mon coeur. C'est beaucoup plus tard que j'ai fait mon deuil quand j'ai appris la vérité sur la mort de ma mère. Je savais qu'il y avait une raison pour que j'entende encore son rire, mal grès tous, ma mère n'avait jamais perdu le goût de vivre bien au contraire, j'étais là pour illuminer ses jours...

"Aucun mortel ne peut garder un secret. Si les lèvres restent silencieuses, se sont les doigts qui parlent. La trahison suinte par tout les ports de sa peau. Sigmund Freud"

Le pire dans le mensonge ? C'est de découvrir la vérité, parce que ça fait toujours mal. Le secret que mon père croyait importé dans la tombe ? Eh bien il ne l'as pas importé avec lui, ce secret, ce mensonge qu'il partageait avec Oncle Luciano, je l'ai découvert le jour de mes 18 ans, mon père me disait souvent que je ressemblais à ma mère à l'époque où il l'avait rencontré, coléreuse, quelque peu introverti, autoritaire, souriante, sûr d'elle, qui ne se laisse pas faire et j'en passe, moi curieuse, même curieuse morbide je dirais, je pose une question qui me trottait dans la tête depuis pas mal d'année. Ma mère avait-elle laisser une lettre pour justifier son geste ? Ou juste, pour dire qu'elle nous aimait ? Bien que pour moi, quelqu'un qui se suicide ce n'est qu'un égoïste, qui n'aime personne et, je ne voulais pas me croire que ma mère était une femme comme cela, mon père me parlait d'elle comme une femme exceptionnelle, elle n'était en rien une femme malheureuse dans la description qu'il m'en fessait...
Cette question l'avait chamboulé plus que cela aurait dû, je voyais qu'il cherchait une réponse à une question pourtant simple, la réponse n'étant que oui ou non... Tout dans ses mimiques, sa façon de réagir me fessait comprendre que quelque chose clocher, je pouvais voir la fine pellicule de transpiration qui fessait son apparition au-dessus de sa lèvre, ainsi que les gouttes qui se formaient sur son front. Je ne pouvais m'empêcher de trouver une explication à tout cela et, l'explication qui me venait n'était tout simplement pas possible, la discussion que j'avais entendu il y a de ça quelque année alors que j'étais à moitié endormi, entre oncle Luciano et mon père était vrai ? Ce n'était pas vraiment un suicide ? Cela pouvait être possible ? Bien sûr que oui, mon père était un avocat pourri jusqu'à la moelle... C'est sans doute la première fois de ma vie que je suis resté aussi calme, j'ai regardé mon père une dernière fois avant de claquer la porte de chez moi, enfin de chez lui, laissant tout derrière moi je ne voulais plus rien à voir avec mon père ou bien la mafia, même si cela est beaucoup plus dur que de ne plus jamais voir mon père, car depuis ce jour il n'as plus jamais eu de mes nouvelles.

"Harlan Ellison a écrit: Dès qu'on tombe amoureux, on devient des menteurs..."

Première année dans l'académie de police, une des plus prestigieuses celle de New-York. Oui j'avais trouvé ma voie, mon père, enfin surtout Oncle Luciano aurait bien voulu que je rentre dans la grande famille de la mafia et, à vrai dire j'étais à deux doigts de le faire, après tout j'étais pratiquement née la dedans, mais c'était sans compter sur le fait que ma mère ne c'était pas vraiment suicider. Je n'avais jamais renier ce que j'étais, je n'étais pas fière de mon père, je ne criais pas sur tous les toits d'où je venais, même si mon nom avait plus d'une fois fait les gros titres du New-York Times et d'autres journaux, cela pouvait être qu'une coïncidence après tout Blake est un nom assez courant, alors bien que je niais jamais avoir un quelconque lien de parenté avec mon père, je ne confirmais pas non plus.
Puis une semaine après la rentrée, je l'ai vu, non pas mon père, mais lui, celui qui allait chambouler ma vie, comme devenir une reine dans l'art du mensonge, enfin des petits mensonges, pas très gros et, je ne mentais qu'à lui et surtout à moi. Il s'appelait Dwayne il s'appelle toujours comme ça d'ailleurs, il était en deuxième année et ce fut le coup de foudre immédiat. Il venait d'une famille modeste dans le centre de Brooklyn, moi j'étais également d'une petite famille de Brooklyn, petit mensonge, mais après tout j'étais née à Brooklyn. Il était rentré dans l'académie pour combattre le crime après la mort violente de sa soeur. Je voulais défendre la veuve et l'orphelin du monde horrible qu'ils les entourent, pourquoi ? Parce que j'avais ça dans le sang. Non la mort de ma mère n'était pour rien là dedans, après tout elle était morte de mort naturelle dans son sommeil. Mensonge ? Oui mais petit également. Je n'avais pas dit qu'elle était toujours vivante ça, ça aurait été un vrai mensonge... Non ? Puis ne dit-on pas que les pires menteurs sont les flics ? Notre relation avait commencer sur de mauvaises bases, mes mensonges, pourtant mal grès la confiance qu'il avait eu en moins et qui n'avait jamais diminué avec le temps, n'avait pas vraiment fléchit après qu'il est eu vent de la vérité, même si c'est vrai qu'il ne savait plus vraiment que croire.

"Confucius nous avait prévenus, celui qui recherche la vengeance devrait commencer… par creuser deux tombes"

Après être sortit diplômé de l'académie, j'ai continue mes études dans une branche qui me tenait à coeur, l'unité du FBI contre le crime organisé, connaissant les ficelles de l'adversaire ayant été de ce coté là pendant quelque temps, j'étais la plus doué, je ne fessais pas exprès c'était ainsi. Je n'avais qu'une idée en tête venger la mort de ma mère et, pour cela quoi de mieux que d'être dans l'autre camp ? Oui c'est vrai que j'aurais pu rester proche d'oncle Luciano, car après tout ne dit ton pas qu'il faut être proche de ses amis et encore plus proche de ses ennemis ? Mais je n'étais pas Judas et, je préférais voir sa tête quand il comprendra que cette petite fille si gentille était devenue celle que je suis aujourd'hui, celle qui aurait été un plus pour la mafia, en étant du côté qu'il considérait comme le mauvais.
Après mon entrée à l'académie, Luciano avait disparu de la surface de l terre, du moins il ce fessait bizarrement plus discret, cela ne fait que deux ans que j'ai enfin réussit à retrouver sa trace, mais j'ai d'autre enquête plus importante, plus ressente à m'occuper aussi et je ne peux pas mettre une affaire personnel en priorité. Ce qui est le plus dur quand on veut ce venger c'est le nombre de personne qui sont là pour vous tuez également...

Vivouille

Spoiler:

BUSH. en ce moment, je la trouve magnifique

BIENVENUE sur le forum mon p'tit chou, j'éspère que tu t'y plairas.
merci pour ton inscription
& bon courage pour écrire ta présentation.

Merci à vous <3

Oui BUSH en même temps c'est toi qui me l'as laissé (a)
Je vais essayé de finir ma fiche au plus vite :D

Merci =D